Mon défi : 52 histoires de papas !

 

J’ai envie de me lancer un défi et de le partager avec vous !

Ce blog se veut collaboratif: ce qui y est raconté a pour objectif de vous inspirer et de vous aider… tout en m’aidant moi même dans mon rôle de papa !

Et pour cela, quoi de mieux que de s’inspirer de supers papas créatifs, qui tentent des approches différentes.

On pense souvent qu’il y a beaucoup à inventer. Moi je suis persuadé qu’il existe déjà beaucoup d’expériences incroyables et des actions qui donnent des résultats.

Et si nous allions à la rencontre de ces papas ?

Et si nous nous lancions le défi de raconter au moins 52 histoires de papas en 52 semaines (une histoire de papa par semaine) ?

Cela semble ambitieux mais je suis sur que nous pouvons y arriver !!

Pourquoi ce défi ?

Comme vous le savez, je suis un jeune papa de jumeaux qui viennent de fêter leur 1ere année. Et comme tout jeune papa, j’apprends ce « nouveau job », j’expérimente, je teste, je rate, je réussis aussi parfois (heureusement !).

Avant la naissance de mes enfants, j’ai des amis/connaissances papas qui me racontaient leurs joies et leurs souffrances. J’ai eu la chance de rencontrer plein de papas, en France ou à l’étranger. Et, même si je n’étais pas encore concerné, j’étais souvent interpellé ! Cela allait du « ouhaou, quelle bonne idée ! J’aimerai la tester quand je serais père » à du « pfff, ça semble tellement dur d’être père, ça m’angoisse !!! ».

Alors ce défi, il a plusieurs objectifs :

– mettre du positif dans nos vies de papa en racontant des expériences qui ont fonctionné et qui permettent d’être plus serein et heureux

– montrer que « oui le papa est capable » quand socialement le rôle de parent est encore très porté  par la maman

– transformer ces histoires partagées par des actions simples et pratiques que chacun peut déployer chez soi (parfois bien sur en les adaptant)

– S’enthousiasmer et rendre fun ce merveilleux rôle de papa !

– Déculpabiliser en écoutant des papas qui ont parfois pris plusieurs chemins avant d’y arriver

Etre papa, c est aussi se confronter à une certaine solitude, à une avalanche de questions et de doutes. A plusieurs, on est toujours plus forts et sentir que l’on appartient à une « tribu », la tribu des papas, est aussi enthousiasmant que rassurant.

Car comme chaque papa, je vis chaque jour des succès et des échecs.

 

 Des succès…

Avant la naissance de mes jumeaux, chaque parent de jumeaux (car il en existe beaucoup en fait !) me disait la même chose : « ah tu vas avoir des jumeaux ? C’est top mais le truc horrible ce sont les nuits… C’est difficile quand tu as un enfant mais c’est impossible à vivre quand tu en as deux ! En fait, il faut tenir les 3 premières années et après ça va. Mais tu verras, tu vas survivre…. ». 3 ans de nuits sans quasi sommeil ???? De quoi me faire regretter la prochaine arrivée des mes enfants !

Alors que faire pour que tout cela ne devienne pas notre réalité ?? On a mis en place des rituels (je vous dis tout en détail dans l’article sur mes 7 astuces pour apprendre à bébé à faire ses nuits), avec un respect très fort (au début) des heures de coucher, avec les mêmes gestes répétés chaque soirée à 19h30 : plus de jeux dans les mains (pour baisser la stimulation), on garde les enfants calmes dans les bras, on baisse progressivement le ton de la voix, on fait deux fois le tour de la table du salon avant de monter à l’étage où on glisse chaque enfant doucement dans son lit après un dernier gros câlin de quelques secondes.

Résultat : les deux dorment 12h par nuit depuis leur 3 mois sans (quasiment) exception.

Et si je pouvais reproduire des succès de papas sur d’autres sujets ? Et vous ? Avez vous aussi envie de vous inspirer de succès de papas ?

Et des échecs !

Mais les 1ers mois ont aussi été parfois difficiles à vivre ! Surtout quand je me retrouvais seul avec mes deux bébés. Un sentiment très fort de culpabilité était présent, avec la peur de ne pas y arriver, de ne pas savoir gérer seul les deux bébés. Il y avait à la fois la peur de ne pas réussir la « pure » gestion (les soins, les repas, …) mais aussi la peur de ne pas en faire assez.

Je me souviens d’un après-midi où les deux étaient très énervés, pleuraient beaucoup. Et bien sur en même temps ! Je me sentais tellement incapable (j’ai fini par les mettre dans la poussette pour aller faire une ballade, pour les calmer… et ME calmer !).

Au bout de quelques mois (après les vacances d’été où j’ai partagé mon temps quasi non stop avec eux), me sentant plus en confiance (car avec plus d’expérience), j’ai réussi à relâcher la pression. Et c’est aussi grâce à une rencontre avec un papa (dont je raconterais l’histoire dans un prochain article) que j’ai réussi à déculpabiliser et à lâcher prise.

Action !

Alors oui, ce défi, je vais le réussir ! Grâce à ces 52 histoires de papas, nous allons contribuer ensemble à la création d’un mouvement de papas présents pour leurs enfants, heureux et qui ont envie.

Suivez moi régulièrement pour voir où j’en suis de mon défi (et pour m’encourager aussi !).

Et si vous avez envie de partager avec moi votre histoire de papa (avec votre bébé, votre enfant, votre ado ) (ou me mettre en relation avec un papa), n’hésitez pas à me contacter ou à commentez ci dessous !

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